Pas d’Hommes à Seynod, que des fiottes!

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Bonjour tout le monde, c’est Marcel ! Alors aujourd’hui je l’annonce très fort, il n’y a pas d’Hommes à Seynod, il n’y a que des fiottes ! C’est facile à déduire après avoir lu le torchon « Dauphiné Libéré« :

Entre début mai et mi-septembre, le terrain de la Pilleuse, à Seynod, a servi d’aire d’accueil pour les gens du voyage. Pendant cette période, les riverains du site ont dû composer avec « une multitude d’incivilités et de désagréments », selon leur expression. Aujourd’hui, ils ne sont pas encore totalement soulagés car un dernier groupe – qui aurait dû quitter les lieux le 15 septembre – est toujours là de façon illicite.

Des excréments “déposés” sur la voirie et dans les bois alentour, des coups de carabine tirés en pleine nuit, des rodéos à motocross, des barbecues jusqu’au bout de la nuit, d’innombrables déchets abandonnées çà et là… Et, lorsqu’un échange se nouait, un épilogue à chaque fois identique : « Va manger tes morts ! » Voici la liste non exhaustive des incivilités auxquelles ont dû faire face les riverains du terrain de la Pilleuse, à Seynod, où plusieurs communautés de gens du voyage se…

Je vais pas donner un centime à ces journaleux alors on n’en saura pas plus… mais on en a déjà assez pour le verdict que je répète une fois encore : Pas d’Hommes à Seynod, que des fiottes!

Pour les mous du bulbe et les mous d’autre chose, je donne quelques solution :

– Tout brûler, camping cars, Porsche Mercédès etc, et ceux qui sont dedans. Facile pour 2 ou 3 gars, de nuit.

– Allumer au 12 (en plein jour c’est pas un problème) le campement. Le 12 c’est pas sélectif, c’est un bon moyen de faire comprendre les choses. 4 ou 5 gars, avec gants et cagoules.

– Charger avec 4 ou 5 tracteurs en renversant tout, voitures et caravanes. Un pèquenot par tracteur.

Eh bien les fiottes de Seynod ont choisi une 4ème option : pleurnicher aux médias et tendre leur postérieur aux petites frappes manouches.

Alors moi Marcel Berrichon, quand je serai président (ou roi ou chef du poutsch on s’en fiche !) je ferai un décret autorisant les citoyens à s’organiser en milices armées et à ouvrir le feu en cas de légitime défense. Et se faire emmerder comme décrit dans ce cas, EST de la légitime défense !

Il vous reste plus qu’à me faire devenir président (ou roi ou chef du poutsch on s’en fiche !) ! Bougez-vous, Boudiou !

A la revoyure !

Marcel Berrichon

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10 Commentaires

  1. On peut aussi empiler quelques centaines de bottes de paille imbibées
    d’huile de vidange et attendre que le vent souffle du bon côté pour les enfumer.

  2. Tout ceci démontre qu’il suffit d’avoir un fort esprit communautaire pour imposer sa loi dans notre pays. Il importe donc que les Français s’organisent, en petits groupes, soudés par le voisinage et se donnent les moyens de se faire respecter pour que les exactions de ces minorités protégées reçoivent la réponse qu’elles méritent. Le réarmement du citoyen et la constitution de groupes d’auto défense est donc la mesure la plus nécessaire et la plus urgente qui devra être prise dès que les patriotes arriveront au pouvoir.

  3. La tonne à lisier déjà expérimentée par ailleurs est aussi une excellente solution. La tonne et un ou deux tracteurs en soutien en cas de rebellion armée.

  4. Les habitants de Seynod ont peut être peur tout simplement…
    C’est facile de dire, on va faire ceci ou cela mais les gens du voyage ont des armes eux aussi. Enfin, si vous voulez un bain de sang et tuer des gens qui n’ont rien demandé…

    • Qui n’ont rien demandé ? Ils ont des armes, sans doute, mais une dizaine de tracteurs avec des chasseurs à bord et de nuit, les squatters n’ont aucune chance et si des innocents sont tués, ce sont les parents qui les ont exposés.

      • Je ne parlais pas seulement des gens du voyage mais aussi des habitants de Seynod qui n’ont peut être pas tous une arme ou un tracteur à utiliser comme un char d’assaut. Des deux côtés, on trouve des enfants, des personnes âgées, ou simplement des gens diminuées. Moi par exemple, je suis en fauteuil roulant et bien incapable de tenir une arme.

  5. Lors d’une « rêve partie » [;=))] je ne sais plus où, le paysan propriétaire des lieux, avait eu le culot, pardon, le courage, d’atteler sa tonne à lisier au tracteur, et il avait cerné les « raveurs » en inondant le prés de purin. J’avais trouvé ça formidable, d’autant que les gugus shootés et leurs gonzesses allumées avaient été obligé de fuir devant les gendarmes morts de rire.
    Pourquoi ne font-ils pas pareil dans ce bled ou il doit bien y avoir un éleveur de vache ou de porcs ?… qui pissent et chient à volonté…

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